HISTOIRE MODERNE
La révolution de 1989
De septembre à novembre, la population manifeste de plus en plus souvent, les citoyens dénoncent la gestion de l'Etat par le gouvernement de Razid GLOBAR. Les grèves se font de plus en plus fréquentes et le nombre de contestataires augmente de jour en jour.
Le 28 novembre, la manifestation nationale dégénère en émeute dans les villes de Bachik et Pirnaz. Des barricades sont érigées dans les rues, des véhicules sont incendiés et de nombreuses infrastructures publiques sont dégradées. Le gouvernement de GLOBAR envoie les troupes loyalistes contre les manifestants. Le calme revient après trois jours d'émeute à Bachik et cinq jours à Pirnaz.
Axmed MEDVEN leader du Parti Merxiste rassemble de plus en plus de mécontents autour de lui. Il réclame la démission de GLOBAR et de son gouvernement. Suite à ces déclarations il sera recherché pour être arrêté. MEDVEN lance un appel à la grève générale et aux manifestations le 6 décembre. Le 7, les chemins de fer sont paralysés dans tous le pays, des émeutes éclatent dans de nombreuses villes. Les ouvriers de la raffinerie de Namangabat bloquent l’approvisionnement de la région en carburant. Le gouvernement de GLOBAR décrète la répression des émeutes par la force et si besoin par le sang. Les émeutiers sont désormais des révolutionnaires.
Le matin du 9 décembre des soldats loyalistes à GLOBAR donnent l'assaut de la raffinerie de Namangabat. Les miliciens de la région refusent de donner la charge contre leurs concitoyens dont ils partagent les préoccupations et les malheurs.
En Tibérie les douaniers distribuent des armes aux révolutionnaires qui prennent le 10 décembre l'Hôtel de Ville d'Aligabat.
Petit à petit les militaires, douaniers et miliciens du pays se rallient à MEDVEN et aux révolutionnaires. La révolution est de plus en plus sanglante. Le 18 décembre, les hommes du 3e Régiment d'Artillerie favorables à la révolution pilonnent les places fortes de GLOBAR aux portes d'Arifeyaz la capitale.
Le 15 janvier 1990, le gouvernement de GLOBAR démissionne après avoir négocié des peines de prison et non la peine capitale. Axmed MEDVEN leader du Parti Merxiste est installé au pouvoir. La révolution s'achève mais des milliers de morts et de blessés sont à déplorer.
Axmed MEDVEN proclame la République Merxiste d'Ourouhzistan.
Il va alors mettre en place une politique désastreuse de dépense des fonds de l'Etat. Il exproprie les plus riches propriétaires, nationalise nombre d'entreprises à la tête desquelles il place des membres de son Parti, non qualifiés pour assumer ces taches. En 1992 il créé des services secrets nationaux dont la mission principale est d'espionner le peuple, collecter des renseignements et s'assurer que l'idéologie merxiste est "choisie" par tous. Certains militaires, douaniers et miliciens refusent ce système mais MEDVEN qui leur doit en partie son accession au pouvoir établit un compromis.
En 1997, il fait exécuter les membres de l'ancien gouvernement GLOBAR incarcérés, revenant ainsi sur les accords passés. Les principaux partis politiques du pays sont réduits au silence et seuls des partis partageant l'opinion merxiste demeurent tolérés.
En 1999, la situation du pays est critique, le taux de corruption à la tête du pays et des industriels est alarmant.
Le 11 avril 2000 est créé le CCCR (Comité Central Contre-Révolutionnaire), et ce malgré l'interdiction des partis politiques d'opposition. Il existera de façon relativement clandestine mais de nombreux intellectuels, politiques et militaires en rejoignent secrètement les rangs grossissants.
En novembre 2000 des élections publiques sont réclamées par le peuple affamé et appauvri par 10 ans de gouvernance merxiste. MEDVEN déclare que les élections seront organisées en mai 2001. En mai 2001, MEDVEN est réélu avec 89 % de voix favorables, ce qui provoque la contestation générale. Un journaliste qui avait publié des preuves de fraude électorale sera "mystérieusement abattu" en pleine rue à Bachik.
Accusant les religieux d'être à l'origine de la contestation le gouvernement merxiste interdit en juin 2001 toutes les pratiques religieuses dans le pays. Les établissements de culte sont fermés et MEDVEN parvient enfin à justifier l'interdiction de la religion conformément à sa doctrine, après des tentatives non soutenues en 1991 et 1998.
Le 28 novembre, la manifestation nationale dégénère en émeute dans les villes de Bachik et Pirnaz. Des barricades sont érigées dans les rues, des véhicules sont incendiés et de nombreuses infrastructures publiques sont dégradées. Le gouvernement de GLOBAR envoie les troupes loyalistes contre les manifestants. Le calme revient après trois jours d'émeute à Bachik et cinq jours à Pirnaz.
Axmed MEDVEN leader du Parti Merxiste rassemble de plus en plus de mécontents autour de lui. Il réclame la démission de GLOBAR et de son gouvernement. Suite à ces déclarations il sera recherché pour être arrêté. MEDVEN lance un appel à la grève générale et aux manifestations le 6 décembre. Le 7, les chemins de fer sont paralysés dans tous le pays, des émeutes éclatent dans de nombreuses villes. Les ouvriers de la raffinerie de Namangabat bloquent l’approvisionnement de la région en carburant. Le gouvernement de GLOBAR décrète la répression des émeutes par la force et si besoin par le sang. Les émeutiers sont désormais des révolutionnaires.
Le matin du 9 décembre des soldats loyalistes à GLOBAR donnent l'assaut de la raffinerie de Namangabat. Les miliciens de la région refusent de donner la charge contre leurs concitoyens dont ils partagent les préoccupations et les malheurs.
En Tibérie les douaniers distribuent des armes aux révolutionnaires qui prennent le 10 décembre l'Hôtel de Ville d'Aligabat.
Petit à petit les militaires, douaniers et miliciens du pays se rallient à MEDVEN et aux révolutionnaires. La révolution est de plus en plus sanglante. Le 18 décembre, les hommes du 3e Régiment d'Artillerie favorables à la révolution pilonnent les places fortes de GLOBAR aux portes d'Arifeyaz la capitale.
Le 15 janvier 1990, le gouvernement de GLOBAR démissionne après avoir négocié des peines de prison et non la peine capitale. Axmed MEDVEN leader du Parti Merxiste est installé au pouvoir. La révolution s'achève mais des milliers de morts et de blessés sont à déplorer.
Axmed MEDVEN proclame la République Merxiste d'Ourouhzistan.
Il va alors mettre en place une politique désastreuse de dépense des fonds de l'Etat. Il exproprie les plus riches propriétaires, nationalise nombre d'entreprises à la tête desquelles il place des membres de son Parti, non qualifiés pour assumer ces taches. En 1992 il créé des services secrets nationaux dont la mission principale est d'espionner le peuple, collecter des renseignements et s'assurer que l'idéologie merxiste est "choisie" par tous. Certains militaires, douaniers et miliciens refusent ce système mais MEDVEN qui leur doit en partie son accession au pouvoir établit un compromis.
En 1997, il fait exécuter les membres de l'ancien gouvernement GLOBAR incarcérés, revenant ainsi sur les accords passés. Les principaux partis politiques du pays sont réduits au silence et seuls des partis partageant l'opinion merxiste demeurent tolérés.
En 1999, la situation du pays est critique, le taux de corruption à la tête du pays et des industriels est alarmant.
Le 11 avril 2000 est créé le CCCR (Comité Central Contre-Révolutionnaire), et ce malgré l'interdiction des partis politiques d'opposition. Il existera de façon relativement clandestine mais de nombreux intellectuels, politiques et militaires en rejoignent secrètement les rangs grossissants.
En novembre 2000 des élections publiques sont réclamées par le peuple affamé et appauvri par 10 ans de gouvernance merxiste. MEDVEN déclare que les élections seront organisées en mai 2001. En mai 2001, MEDVEN est réélu avec 89 % de voix favorables, ce qui provoque la contestation générale. Un journaliste qui avait publié des preuves de fraude électorale sera "mystérieusement abattu" en pleine rue à Bachik.
Accusant les religieux d'être à l'origine de la contestation le gouvernement merxiste interdit en juin 2001 toutes les pratiques religieuses dans le pays. Les établissements de culte sont fermés et MEDVEN parvient enfin à justifier l'interdiction de la religion conformément à sa doctrine, après des tentatives non soutenues en 1991 et 1998.
La révolution de 2003
L'interdiction des pratiques religieuses augmente encore la grogne populaire.
Fin 2002 la crise atteint un seuil critique. Le gouvernement merxiste accuse les anciens religieux de continuer à pratiquer des offices clandestins et ordonne leur arrestation massive.
Le 3 janvier 2003 des émeutes éclatent en Tibérie Orientale où les chamans arrêtés ont fait l'objet de maltraitance de la part des enquêteurs du Parti Merxiste.
Des grèves d'ouvriers éclatent en tous endroits du pays.
Le 1er mai 2003 jour de la fête du Parti, les manifestations traditionnelles donnent lieu à des violences dans toutes les grandes villes du pays. Des barricades sont érigées, le CCCR mène la révolte.
Des places fortes du CCCR naissent avec l'appui des miliciens et douaniers locaux. Ils exigent le rétablissement des institutions religieuses, la transparence des comptes de l'Etat, la libération des religieux et prisonniers politiques incarcérés, la restitution de l'épargne des particuliers confisquée par le gouvernement MEDVEN et la tenue d'élections publiques.
Le gouvernement merxiste répond en faisant couler le sang et la situation vire à la guerre civile. Peu sont encore favorables au gouvernement merxiste à l'exception des corrompus et des militaires que le gouvernement se sentant menacé et incapable de faire face à la crise, arrose de pots-de-vin.
A Namangabat, Ari KOLOBNEV, Chef de la Milice déclare que la mission première de ses hommes est la protection des civils, du patrimoine et des biens publics. Il refuse d'envoyer la milice contre les révolutionnaires et les douaniers de la région se rallient à lui. Dans tout le Namanistan les membres du Parti merxiste sont mis aux arrêts, les escadrons de sécurité (police privée merxiste) sont dissous, ce qui refusent de se soumettre entre en conflit armé avec les miliciens et douaniers de la région. En Tibérie Orientale, Occidentale et Serkeftistan, l'exemple de KOLOBNEV est suivi par les douaniers et miliciens. Les agents des prisons relâchent tous les prisonniers politiques au Serkeftistan.
Le 1er septembre 2003, l'Hôtel de Ville de Namangabat est pris d'assaut par la milice. KOLOBNEV met aux arrêts le maire merxiste et décrète l'autonomie du Namanistan vis à vis du gouvernement merxiste. Le 6 septembre le Haut-Dakouzistan fait sécession, et le le même jour un peu plus tard la Tibérie Occidentale se déclare autonome vis à vis du gouvernement merxiste.
Le 8 septembre Elnar MARINEVKO général en chef des Forces Aériennes Ourouhzes déclare à Aligabat la constitution d'un nouveau gouvernement ourouhze provisoire.
Le 19 novembre 2003 le gouvernement merxiste de MEDVEN quitte discrètement et clandestinement le pays. Treize ans de gouvernance merxiste ont laissé le pays dans un état catastrophique. MARINEVKO se proclame Président Transitoire du Pays, il promet la création d'un Conseil des Représentants avant la fin de l'année et la tenue d'élections futures.
Le 28 décembre 2003 un Conseil des représentants est mis en place, il compte en proportions égales des représentants de chaque région, de l'armée, des ouvriers, des cadres, du patronat, des cadres, miliciens, douaniers, fonctionnaires et employés privés, intellectuels, de tous les anciens partis politiques. Un statu-quo est décrété le 2 février par ce Conseil.
Le pays panse ses blessures et travaille à relancer son économie.
En novembre 2003 un référendum populaire où le taux de participation atteint plus de 96 % se prononce en faveur d'un gouvernement d'oligarchie éclairée. Le 1er janvier 2005 le gouvernement ainsi établi prend ses nouvelles fonctions. Ari KOLOBNEV est nommé Président de la République Oligarque d'Ourouhzistan. Il décrète la fin des autonomies régionales et le 2 janvier, le gouvernement indépendant du Haut-Dakouzistan lui prête allégeance. Le pays est de nouveau uni.
Fin 2002 la crise atteint un seuil critique. Le gouvernement merxiste accuse les anciens religieux de continuer à pratiquer des offices clandestins et ordonne leur arrestation massive.
Le 3 janvier 2003 des émeutes éclatent en Tibérie Orientale où les chamans arrêtés ont fait l'objet de maltraitance de la part des enquêteurs du Parti Merxiste.
Des grèves d'ouvriers éclatent en tous endroits du pays.
Le 1er mai 2003 jour de la fête du Parti, les manifestations traditionnelles donnent lieu à des violences dans toutes les grandes villes du pays. Des barricades sont érigées, le CCCR mène la révolte.
Des places fortes du CCCR naissent avec l'appui des miliciens et douaniers locaux. Ils exigent le rétablissement des institutions religieuses, la transparence des comptes de l'Etat, la libération des religieux et prisonniers politiques incarcérés, la restitution de l'épargne des particuliers confisquée par le gouvernement MEDVEN et la tenue d'élections publiques.
Le gouvernement merxiste répond en faisant couler le sang et la situation vire à la guerre civile. Peu sont encore favorables au gouvernement merxiste à l'exception des corrompus et des militaires que le gouvernement se sentant menacé et incapable de faire face à la crise, arrose de pots-de-vin.
A Namangabat, Ari KOLOBNEV, Chef de la Milice déclare que la mission première de ses hommes est la protection des civils, du patrimoine et des biens publics. Il refuse d'envoyer la milice contre les révolutionnaires et les douaniers de la région se rallient à lui. Dans tout le Namanistan les membres du Parti merxiste sont mis aux arrêts, les escadrons de sécurité (police privée merxiste) sont dissous, ce qui refusent de se soumettre entre en conflit armé avec les miliciens et douaniers de la région. En Tibérie Orientale, Occidentale et Serkeftistan, l'exemple de KOLOBNEV est suivi par les douaniers et miliciens. Les agents des prisons relâchent tous les prisonniers politiques au Serkeftistan.
Le 1er septembre 2003, l'Hôtel de Ville de Namangabat est pris d'assaut par la milice. KOLOBNEV met aux arrêts le maire merxiste et décrète l'autonomie du Namanistan vis à vis du gouvernement merxiste. Le 6 septembre le Haut-Dakouzistan fait sécession, et le le même jour un peu plus tard la Tibérie Occidentale se déclare autonome vis à vis du gouvernement merxiste.
Le 8 septembre Elnar MARINEVKO général en chef des Forces Aériennes Ourouhzes déclare à Aligabat la constitution d'un nouveau gouvernement ourouhze provisoire.
Le 19 novembre 2003 le gouvernement merxiste de MEDVEN quitte discrètement et clandestinement le pays. Treize ans de gouvernance merxiste ont laissé le pays dans un état catastrophique. MARINEVKO se proclame Président Transitoire du Pays, il promet la création d'un Conseil des Représentants avant la fin de l'année et la tenue d'élections futures.
Le 28 décembre 2003 un Conseil des représentants est mis en place, il compte en proportions égales des représentants de chaque région, de l'armée, des ouvriers, des cadres, du patronat, des cadres, miliciens, douaniers, fonctionnaires et employés privés, intellectuels, de tous les anciens partis politiques. Un statu-quo est décrété le 2 février par ce Conseil.
Le pays panse ses blessures et travaille à relancer son économie.
En novembre 2003 un référendum populaire où le taux de participation atteint plus de 96 % se prononce en faveur d'un gouvernement d'oligarchie éclairée. Le 1er janvier 2005 le gouvernement ainsi établi prend ses nouvelles fonctions. Ari KOLOBNEV est nommé Président de la République Oligarque d'Ourouhzistan. Il décrète la fin des autonomies régionales et le 2 janvier, le gouvernement indépendant du Haut-Dakouzistan lui prête allégeance. Le pays est de nouveau uni.